Chambord


Le chateau de Chambord, joyau de l'architecture de la Renaissance française :







Avec son célèbre escalier à double hélice, qui permet de voir quelqu'un en face.







Le puits central de l'escalier, centre du chateau.



Lors de la Nuit Insolite au Chateau de Chambord, les 18 et 19 mai, le professeur Glaçon a occupé une partie du chateau, pour effectuer son tavail de recherche : 






Dans un couloir, une succession de collages qui illustrent la zoologie selon Glaçon.




Les bois éclairés par Jim Clayburgh.






Mathieu Metzger à la talk box.



Les plâtres de l'époque, recouverts de plastique et d'insectes.





De nombreuses informations inédites sur le chateau :




le chateau de Chambord à Paris
Pour l'exposition universelle de Paris en 1889 le chateau de Chambord a été démonté pierre par pierre et remonté sur le champ de Mars. Prodige de patience, ce déplacement est complètement resté inaperçu, éclipsé par la nouveauté de la tour Eiffel.
De plus, au retour, le remontage du château a posé problème, et on suppose aujourd'hui que sa symétrie n'est pas d'origine mais due à la reconstruction répétée de la même moitié.








l'atelier du sculpteur
Chambord avait son sculpteur, qui taillait dans la chair les futurs sculptures du chateau. Une fois taillées, elles étaient placées et se solidifiaient lentement, trouvant dans ce processus leur belle couleur blanche crayeuse.




Ici un bel espace dans lequel étaient projetés les films de l'Encyclopédie :










le chateau de Chamboord
Acheté en 1847 par un noble, le comte d'Ertoiiddet, le château a changé de nom en Chamboord, et a subi une légère modification architecturale : l'ajout d'une demie tour au centre. La raison est que le comte d'Ertoiiddet qui était ni huitièmiste, ni sixièmiste, mais un peu au milieu, vivait des ralentissements toutes les cinq ou sept secondes, ralentissements qui se traduisaient par un allongement de certaines syllabes, un dédoublement de certains gestes, etc. Afin de lui rendre la vie plus agréable, Repher, préfet et ami du comte, a ajusté le château de Chambord afin de le rendre conforme à la perception d'Ertoiiddet. Certaines marches ont été allongées, les fenêtres déformées, et le personnel devait être capable non seulement de marcher irrégulièrement, un 5° pas toujours plus long, mais aussi d'être éventuellement à deux endroits à la fois, si le comte tournait la tête lentement dans sa cinquième seconde : le monde devait être intacte à l'arrivée de ce passage fatal. On a aussi corrigé des partitions, faisant jouer Carmeen, Aïddda, ou le Ring des Nibelllllungen au château. Dans le cas de Wagner, c'était éprouvant pour les chanteurs, car l'œuvre durait tout de même trois heures de plus.



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